Non traitée, la dysenterie est une maladie mortelle.

LA FRANCE EST ATTEINTE DE DYSENTERIE FISCALE

 

 

Des niveaux de dépenses soviétiques.

Une taxation confiscatoire.

Des déficits non-maîtrisés.

Un endettement alarmant et en constante progression.

Des services publics qui coûtent une fortune à cause d’une suradministration qui avale les moyens nécessaires pour exécuter leurs missions, laissant le personnel de première ligne scandaleusement sous-payé et sans moyens.

Non traitée, l’immunodéficience tue.

LA GAUCHE DEMANTELE NOTRE SYSTEME IMMUNITAIRE SOCIETAL

 

 

Une immigration hors contrôle.

Des peines prononcées non exécutées, où systématiquement réduites à cause du manque de places en prison.

Un système judiciaire qui privilégie les droits des criminels sur les droits et des victimes et de la société à vivre dans un climat serein.

 

 

NOUS SOMMES CHOQUÉS

 

Choqués de constater :

 

  • Le manque de conscience de la population qu’une faillite de la France est plus probable aujourd’hui que jamais.  L’Etat français sous M Macron dépense environ 60% du PIB, la moyenne OCDE (qui inclut la France !) étant de 35-40% du PIB, soutenue par des niveaux de taxation ahurissants qui n’arrivent pas à couvrir les dépenses.  Point de repère qui devrait vous donner des sueurs froides : au moment de la faillite et le collapse de l’URSS, la dépense publique était de 69% du PIB.  Le collapse financier de la France engendrerait un effet domino sur l’Espagne, le Portugal, la Grèce et l’Italie, provoquant un cataclysme financier comme celui de 1929 qui marquerait la fin de l’Europe et le retour des nationalismes et de la guerre.  Les sommes en jeu sont si astronomiques que ni la BCE ni le FMI pourraient éviter la débâcle.

 

  • Que les leçons de la crise grecque de 2010 sur le rôle déstabilisant d’une dette non-maîtrisée n’ont pas été intégrées. M Macron a endetté la France de 600 milliards, dont 70% causés par son manque de réformes et par sa volonté de s’acheter un peu de croissance économique factice pré-électorale.  Point de repère: le budget annuel ENTIER du Ministère de l’Education nationale, le plus grand des ministères, est de 78 milliards.

 

  • Voici ce qui s’est passé lorsque la Grèce à été mise sous tutelle du FMI, survenue du fait de l’assèchement des financements en provenance des marchés à cause de l’irresponsabilité budgétaire des gouvernements successifs : DU JOUR AU LENDEMAIN
    • les retraites ont été coupées de 40%
    • les allocations ont été soit supprimées, soit suspendues
    • toutes les prestations de l’Etat payées avec plusieurs mois de retard.
    • des dizaines de milliers de personnes ont perdu leur travail et leur logement
    • des centaines de PME ont fait faillite.
    • le PIB a chuté de 30%.

Ce scénario est possible en France aussi

 

  • Qu’aucun parti ne semble avoir pris la mesure gargantuesque du tsunami qui se profile à un horizon toujours plus proche. Les cycles électoraux se succèdent et constutuent un festival à la promesse irréfléchie de dépenses, des florilèges de chèques sans provisions qui ne remettent pas en cause un système qui confisque la quasi-totalité de la valeur ajoutée du pays dans un effort vain de tenir la barque en attendant une croissance que cette même confiscation rend quasiment impossible, ne réussissant qu’à
    • écraser le pouvoir d’achat
    • décourager nos entrepreneurs
    • détruire nos classe moyennes
    • paupériser notre beau pays.

 

  • Que la France suit la voie de l’Argentine, se gargarisant de discours de gauche, convaincue à tort que sa richesse est inépuisable alors qu’aujourd’hui elle n’arrive pas à payer ses dépenses courantes ou à maintenir ses structures convenablement :
    • Tribunaux sans papier pour imprimante,
    • postes de Gendarmerie qui épuisent leurs budgets carburant le 20 du mois,
    • enseignants obligés d’acheter leurs propres craies,
    • bâtiments publics dans des états honteux,
    • niveaux de salaires dans la fonction publique scandaleusement bas.

Aujourd’hui, l’Argentine affiche plus de 100% d’inflation et 40% de pauvres.

Est-ce le pays que nous voulons pour nos enfants ?

  • Que les squatteurs semblent toujours avoir plus de droits que les propriétaires, malgré des nouvelles lois, à cause de la pusillanimité des pouvoirs publics et des lacunes rédactionnelles.
  • Que les immigrants illégaux semblent pouvoir faire ce qu’ils veulent, y compris s’adonner à des activités criminelles sans aucune crainte, l’Etat n’ayant plus la capacité de le punir ou de les expulser.

ARRETONS LE CHAOS ORGANISÉ PAR LE SOCIAL-ETATISME DE GAUCHE DEPUIS 50 ANS !

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